Un bateau nommé poésie
  • Prix : 20,00€
  • Pages : 272
  • ISBN : 978-2-36229-464-8

Grâce... Livre des heures poétiques

En librairie le 2 Février 2024

Soirée de lancement le 5 mars 2024 à 20h à la Maison de la poésie de Paris.
Infos et réservation ici.

Anthologie établie par Bruno Doucey & Thierry Renard
Préface de Bruno Doucey & Thierry Renard

Le mot de l’éditeur :

Prenez le mot Grâce. Soupesez-le pour en estimer la richesse de sens. Puis déployez-le, en éventail, de manière à faire apparaître ses innombrables significations. Qu’y a-t-il au-delà de ce don accordé, de cette faveur ou non divine ? Un état, un moment, l’extase. Une supplique, une embellie, d’autres extases encore. Sans oublier ces vies que l’on épargne, ce coup souvent fatal, ces inquiétudes et cet accueil, le consentement ou le refus. Les uns disent « Grâce à Dieu », tandis que d’autres ne croient qu’en la chaleur d’une main dans la leur. Mais de textes en textes, de mots d’amour en chants des morts, de cimes en abîmes, les 118 poètes de cette anthologie entonnent sans relâche la grande partition de la vie. Et s’ils viennent de tous les horizons – si elles viennent, car plus de la moitié sont des femmes –, c’est pour dire d’une voix multiple et une : Gracias a la vida !

118 poètes parmi lesquels :

Garous Abdolmalekian, Olivier Adam,  Maram al-Masri, Victoria Amelina, Katerina Apostolopoulou, Samantha Barendson, Stéphane Bataillon, Gilles Baudry, Brigitte Baumié, Gioconda Belli, Nawel Ben Kraïem, Jeanne Benameur, Levent Beskardès, Christian Bobin, Caroline Boidé, Katia Bouchoueva, Georges Brassens, Didier Cahen, Hélène Cadou, René Guy Cadou, Emanuel Campo, Roja Chamankar, François Cheng, Marion Collé, Hélène Dorion, Estelle Dumortier, Louise Dupré, Mohammed El Amraoui, Eom Won-tae, Albane Gellé, David Giannoni, Xavier Grall, Elisabeth Granjon, Sophie Grenaud, Ève Guerra, Hubert Haddad, Nâzım Hikmet, Marie Huot, Imasango, Charles Juliet, Sofía Karámpali Farhat, Vénus Khoury-Ghata, Christophe La Posta, Yvon Le Men, Denise Levertov, Laura Lutard, Maria Mercé Marçal, Jidi Majia, Rita Mestokosho, Aksinia Mihaylova, Hala Mohammad, Marie Nimier, Carl Norac, Simon Ortiz, Orianne Papin, Marie Pavlenko, Anthony Phelps, Paola Pigani, Dimitri Porcu, Karine Reysset, Arthur Scanu, Jean‑Pierre Siméon, Valeriu Stancu, Ceija Stojka, Murielle Szac, Hadassa Tal, Maud Thiria, André Velter, Claude Vigée, Ella Yevtouchenko...

La presse en parle :

L’anthologie des Éditions Bruno Doucey propose des poétesses et poètes d'un peu partout dans le monde. Nos habitué.e.s retrouveront Stéphane Bataillon, Sofía Karámpali Farhat, Ariane Lefauconnier ou Laura Lutard dans une geste qui lie l’intemporel à nos réalités, nos quotidiens fantasmés, à nos troubles passionnés, des « pas de l’oiseau dans la neige » aux « brûlure[s] dans la poitrine », de la supplique à l’invective : « Danse, danse sinon sous sommes perdus ».
Matthieu Limosino – Revue Hélas

Dans Grâce… Livre des heures poétiques, Thierry Renard et Bruno Doucey nous proposent les textes de 118 poètes, de la prose et de nombreux vers à travers le monde et les siècles, desquels se dégagent la poésie de l’instant, la lumière du moment et la grâce que peut apporter la vie parfois. Cette anthologie est presque exhaustive sur ce mot : « grâce » était un pari difficile mais complètement réussi avec ce « livre des heures poétiques ».
Opalivres

Autour de ce mot hautement polysémique, on retrouve les ingrédients habituels : classement par thématiques, des auteurs vivants, des qui ne le sont plus (au hasard, Apollinaire côtoie Ariane Lefauconnier), des textes déjà publiés, des inédits, des auteur.ice.s français.e.s ou étranger.e.s, des notices bibliographiques, un index thématique… C’est vivant, c’est divers, c’est beau… Qu’on en juge avec par exemple ce poème splendide de Ceija Stojka.
Marie-Ève – Librairie Paroles – Saint-Mandé

Je pensais que j’allais lire l’anthologie par petits bouts chaque jour, mais j’ai commencé hier soir…et je ne me suis arrêtée qu’à la dernière page ! Cela ne m’était jamais arrivé avec une anthologie. Dès le début, vos mots qui disent le climat, les différents sens du mot grâce, la construction de l’ensemble, tout ça sonne vraiment juste. J’ai aimé beaucoup de textes et découvert beaucoup de poètes. (…) J’ai senti qu’il se dégageait de ce volume bleu une énergie vraiment apaisante.
Albane Gellé, poétesse